Dire qu’il y a un problème juif, c’est . . . dire que le nom juif est saisi au point de collision entre tout et pastout. Selon la version européenne classique, la société est le lieu des problèmes et la politique, celui des solutions. Si donc il y a un problème juif, il se pose dans la société et s’il se pose dans la société, c’est parce que le Juif y apparaît comme support d’une exception, d’une limite, d’un dire que non à la fonction de société. La solution appartient aux politiques ; par-delà les diversités circonstancielles, la formule en est simple : il faut que la voix du non se taise, soit par transformation intérieure du Juif, soit par disparition matérielle du Juif.
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